Jennifer Levitre, sophrologue certifiée

Lorsque nous nous rendons chez un praticien, nous avons besoin d’être en confiance, de nous exprimer librement et de nous sentir écoutés sans jugement. Pour la plupart d’entre nous, une relation thérapeutique privilégiée passe par un bon feeling.

Je vous propose donc d’en savoir un peu plus sur moi !

Sophrologue et expat

Je me présente,

Je m'appelle Jennifer Levitre, auparavant Auxiliaire Petite Enfance (A.P.E), passionnée par la psychologie, le yoga et la méditation, c'est tout naturellement que mon cœur s'est tourné vers la sophrologie.

C'est après avoir repris les bancs de l'école au sein de l'E.F.D.S (Ecole Française De Sophrothérapie) et en être ressortie diplômée que j'ai créé Sophroworld.

"Je suis convaincue que nous avons tous en nous la capacité d’accéder au bonheur."

L'apparition de la sophrologie dans ma vie

Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été très anxieuse et cela n'a pas été en s'arrangeant avec les années. A l'adolescence, les insomnies chroniques ont débarqué, avec leurs lots de sauts d'humeurs, malaises, carences, consultations, médicaments, etc. (une pure joie)

Une fois à l'âge adulte, complètement dépassée par mes angoisses, mes peurs, mes insomnies, etc. J'ai décidé que je ne voulais plus vivre comme ça. Je me suis mise à me documenter, à tester toutes sortes de techniques déstressantes, rituels, rien ne fonctionnait... J'ai fini par me décider à faire une psychothérapie… Enfin, j'ai commencé à voir de la lumière.

Cependant, il me manquait toujours quelque chose de concret pour agir dans mon quotidien. Un truc qui fait que lors d'une crise d'angoisse, tu te réfugies dans un coin, tu fais ton petit exercice de 2 minutes et tout se calme. C'est en cherchant ces outils concrets que j'ai découvert la sophrologie.

La sophrologie a considérablement tout changé, j'ai pu reprendre le contrôle de moi-même. J'ai appris toutes sortes d'exercices qui m'ont permis d'avoir une action physique et mentale sur mon anxiété et tout ce qui en découlait.

Ma vie d'expat

Ma première expatriation c'est faite en 2021 en direction de Philadelphie, je faisais partie de la communauté des conjoints qui ont suivi leur moitié dans la folle aventure de l'expatriation.

Nous en parlions depuis près de 3 ans et j'avais hâte de vivre cette aventure. Je ne cessais d'imaginer l'émotion que j'allais ressentir au décollage de l'avion vers les US. Je regardais les vidéos d'expat qui décrivaient leurs vies sur place etc.

Bien sûr j'avais conscience que tout n'allait pas être rose, que cette aventure allait me mettre à l'épreuve.

Ne parlant que très peu l'anglais à mon arrivée, autant vous dire que chaque instant de cette nouvelle vie était un défi pour moi. Passant par des moments d'émerveillements et de joies, à des moments de profondes angoisses ponctués de peurs.

Et oui qui dit changements importants... dit retour en force de l'anxiété.

Me commander un café me terrifiait, c'est vous dire…

J’était à la fois heureuse de vivre cette aventure et à la fois bouleversée par tous ces changements.

Moi, la femme active, avec son petit quotidien, ses petites habitudes bien frenchies . Je me suis retrouvée sans revenus, dépendante de mon mari, souvent seule, à me débattre avec la déprime et la culpabilité de vivre le rêve de plein de gens et de ne pas être heureuse.

Oui encore une fois… Être sophrologue n'empêche pas de ressentir toutes sortes d’émotions et de devoir travailler sur soi pour apprendre à vivre avec soi-même.

J'ai donc de nouveau appliqué tout mon apprentissage sophrologique, pris en compte toutes mes nouvelles émotions liées au choc culturel et aux changements.

Une bonne dose de recul a également été nécessaire !

Je me suis aperçue que j'étais encore une fois bien plus forte que je ne le pensais et que j’avais déjà les ressources pour surmonter ce nouveau défi. Il fallait simplement que je les retrouve et les utilises. (Plus simple à écrire qu'à faire lol.)

Grâce à la sophrologie, au yoga et à une bonne dose de positivité, je suis maintenant beaucoup plus à l'aise dans mes baskets d'expat et mon anglais s'est considérablement amélioré.

Aujourd'hui, je vie à Montréal (Canada) où J'ai retrouvé un quotidien serein tout en continuant de vivre les aventures qui se propose à moi.